DR ERIC MARTIN

Chirurgien Dentiste

LA VISION D’ENSEMBLE AU SERVICE DE LA PERFORMANCE .

Nous étions en tête de la course depuis quelques milles. Mais le grain qui venait de nous tomber dessus était arrivé brutalement. La mer se formait de plus en plus. Je décidais de diminuer la voilure. L’équipage le fit rapidement. On avait passé du temps pour arriver à bien se comprendre. Depuis peu, on commençait à gagner les régates, alors qu’on perdait tout, avant. J’aime sélectionner soigneusement mes équipiers. C’est loin d’être une question de compétence. Tout le monde peut apprendre. Il suffit d’un peu de bonne volonté, et les gens sont généralement de bonne volonté. C’est beaucoup plus compliqué d’arriver à s’entendre lorsque le courant ne passe pas. Surtout sur un bateau. Par gros temps. De fait, les tempêtes sont les meilleures conditions pour apprendre comment sont les gens. Parce qu’on ne peut pas tricher dans l’adversité. Ce sont de formidables opportunités pour bien cerner ceux avec qui on travaille, pour les mettre aux meilleurs postes. Là, c’était de pire en pire. Le vent forcissait. Je vois l’équipage qui se tourne vers moi, avec dans les yeux, la même question muette. Qu’est-ce qu’on fait ? J’étais bien en peine de leur trouver une réponse. Alors que mon mal de mer empirait, et que je luttais contre la nausée, l’un des focs s’arrache. Les paquets de mer balayent le pont. Les hommes, trempés, s’accrochent comme ils le peuvent. Je fais de mon mieux pour éviter que le bateau se couche. Mon second remonte de l’intérieur :  « le carré est plein d’eau ». Flûte ! C’est bien le moment de commencer à couler !

On met les pompes en route, et tous les hommes disponibles écopent. Je sens le bateau qui roule, alourdit par sa masse supplémentaire. Je jette un coup d’œil dans le carré. Ça ne diminue pas, pas vraiment. On a un problème, et je ne sais pas lequel. J’envoie un copain à l’avant. Ensuite, tout se passe très vite. L’étrave plonge sous la vague. L’eau de mer inonde le pont. Et lorsqu’elle se retire, plus de copain. Je fouille du regard l’eau qui déferle le long de la coque.

Rien.

C’est un des équipiers qui tend le doigt en criant :  « Là! ». Je lève la tête. Notre camarade est empêtré dans les haubans. Il s’était attaché. Deux autres vont lui donner un coup de main. Ils me signalent une voie d’eau à l’avant. On répare, et on arrive enfin à sortir de ce grain, et à vider le bateau. Lorsqu’on arrive au port, on réalise que l’on est toujours en tête. Les autres concurrents ont autant souffert que nous. Alors qu’on amarre le bateau, j’ai la même sensation que lorsque je soigne correctement un patient : celle du contrat rempli, du travail bien fait. Lier les régates et la dentisterie peut sembler paradoxal, c’est pourtant ce que je fais tous les jours. Les deux approches sont étroitement liées, à mon sens. Parce qu’on ne peut remporter l’objectif que si on dispose de l’intégralité des informations. C’est la raison pour laquelle j’ai mis en place l’approche globale au Centre de Chirurgie Esthétique de l’Océan Indien. Les outils d’imagerie les plus performants pour avoir une vision d’ensemble avant toute intervention. De façon à traiter réellement les sources des problèmes, et non faire simplement du raccommodage. Pour éviter que les patients n’aient à revenir sans cesse. J’ai horreur de perdre du temps, pour ma part, et je comprends que les patients aient la même attente. Avoir les outils les plus avancés, pour avoir les diagnostics les plus précis et poser les meilleures indications est un prérequis indispensable. Mais ce qui prime avant tout, c’est le confort du patient. Limiter au maximum la douleur, comme les appréhensions classiques des traitements des dents. C’est pour cela que nous avons automatisé et numérisé la création des prothèses et des implants. Pour allier la meilleure performance aux soins les moins invasifs et dérangeant possibles. Cet esprit d’innovation, cette attention permanente au confort du patient fait de notre centre un des plus avancés au monde en matière de soins dentaires. Et je suis fier d’y contribuer.

PARCOURS ET QUALIFICATIONS:

Diplômé de PARIS 5
Diplômé Universitaire d’implantologie de la Faculté de Bordeaux
Diplôme Universitaire d’Implantologie basale de la Faculté de Nice